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A 50 ans, on peut avoir réussi sa vie et rouler à vélo”, ironise l’universitaire poitevin Gildas Merceron

La Nouvelle République

Vous l’avez com­pris, la Rolex n’est pas son truc. Mais ça roule au quo­ti­di­en pour le paléon­to­logue Gildas Mer­ceron, adepte et défenseur du vélo en ville.

A 45 ans, ce chercheur en paléon­tolo­gie, asso­cié au CNRS, s’intéresse plus par­ti­c­ulière­ment « aux change­ments cli­ma­tiques dans l’évolution des pri­mates ». Sa sen­si­bil­ité nat­u­ral­iste remonte à l’enfance. Dans les Deux-Sèvres, l’universitaire poitevin intè­gre vite le groupe ornithologique et il par­ticipe, ado­les­cent, à la récupéra­tion des huiles de vidan­ge dans le nord du départe­ment dans le cadre de l’opération « Mille défis pour la planète ».
Non con­tent de par­ticiper chaque jour à la com­préhen­sion de son évo­lu­tion, le chercheur a aus­si décidé de trac­er son hum­ble sil­lon sur (et pour) notre planète. Entre son domi­cile sanc­to-béné­dic­tain et le cam­pus, c’est le vélo au quo­ti­di­en. Une déci­sion prise il y a une bonne douzaine d’années suite à deux élé­ments déclencheurs.

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