Durant le confinement, le vélo s’est révélé un précieux allié pour certains. Mais la plupart des adeptes de la petite reine ont été contraints de remiser leur monture au garage durant cette période inédite ou du moins de limiter drastiquement leurs sorties. Au point de créer un manque. Mais pourquoi cette privation de guidon a-t-elle été si difficile à accepter ? Parce que le vélo est un symbole de liberté, bien sûr, mais aussi parce que par bien des aspects, il est garant d’équilibre et de bien-être. Chez Cyclable, nous en avons la conviction, pédaler rend heureux. Et voici pourquoi :
1. Le vélo ouvre l’esprit
Grands marcheurs, les philosophes grecs auraient-ils également loué les vertus de la bicyclette ? En tous cas, plusieurs de leurs homologues contemporains ont fait du vélo leur outil de réflexion. C’est le cas notamment du coureur cycliste professionnel Guillaume Martin, auteur du livre Socrate à Vélo, ou du romancier et historien Bernard Chambaz qui a publié un essai intitulé Petite philosophie du vélo.
A l’évidence, pédaler active le système cardiovasculaire, mais c’est manifestement aussi un excellent stimulant intellectuel. Le vélo est bon pour le cerveau. Plusieurs études montrent en effet les effets bénéfiques de la pratique sur les fonctions cognitives et la mémoire .
En panne d’inspiration ? Vous pourriez trouver l’idée lumineuse en enfourchant votre monture. A défaut, un trajet en selle sans parasitage intempestif sera propice à la concentration et vous permettra d’arriver au travail avec l’esprit clair.
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