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Comment les start-up du vélo se sont adaptées à la folle demande

Les Echos : La crise du coronavirus a mis les start-up du vélo à rude épreuve. Entre hyper-croissance et difficultés de production, certaines d'entre elles ont dû changer d'échelle prématurément.

Star de ces derniers mois, le vélo n’a pas man­qué de créer des sueurs froides aux entre­pre­neurs du secteur. Usines à l’arrêt, dif­fi­cultés à s’approvisionner en pièces, ges­tion des deman­des clients, délais qui s’allongent… « On a vu ce qui se pas­sait en Chine et en Corée au décon­fine­ment, avec des ventes qui explo­saient. Chez nous, on s’attendait à une hausse des ventes, mais à ce point-là… c’était impres­sion­nant », se sou­vient Bap­tiste Fullen, cofon­da­teur d’Eovolt, une start-up spé­cial­iste des vélos élec­triques pli­ables.

L’entrepreneur vient de quit­ter « en urgence » son ate­lier de 700 m² à Bourges (Cher) pour une nou­velle usine de 2.500m² dans la région lyon­naise. Résul­tat : alors qu’il prévoy­ait une baisse de son chiffre d’affaires prévi­sion­nel à cause du con­fine­ment, ses revenus devraient attein­dre 4 mil­lions d’euros d’ici à la fin de l’année, con­tre 1,3 mil­lion d’euros en 2019.

A lire dans lesechos.fr

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