« c’est une occasion historique pour tester des choses dans la façon de se déplacer. Toutes les villes le font, Orléans ne doit pas rester en marge ».
Paris, Rouen, Tours, beaucoup de villes se rendent compte que la place du vélo en ville sera modifiée, d’autant que les mesures de restriction dans les transports en commun risquent de faire la part belle aux voitures. Or, le vélo, c’est moins de pollution, moins de problèmes de stationnement, une ville apaisée selon ses partisans.
A Orléans, le collectif de la Vélorution, qui représente quelque 300 sympathisants et une quinzaine de membres actifs, a publié une carte d’itinéraires prioritaires pour lesquels il demande aux pouvoirs publics des aménagements.
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