Marcus Hanauld enchaîne les courses à un rythme effréné. “Nous sommes plus rapides que les voitures, nous pouvons nous faufiler au milieu de la circulation et n’avons pas à chercher des places de parking”, explique à l’AFP le jeune homme de 25 ans qui, il y a encore trois semaines, transportaient des plats chauds sur sa bicyclette.
Masque, lunettes et gants de protection, il remet à chacun un test par “gargarisme”, qui consiste à se rincer la gorge avec une solution saline. Une fois le liquide recraché dans une éprouvette, direction le laboratoire où le livreur se rend à l’issue de sa mission d’une durée de huit heures.
Ils sont une centaine comme lui à sillonner la capitale autrichienne depuis début octobre, dans le but d’augmenter le nombre de tests et de mieux dépister les contacts de personnes diagnostiquées positives, sur fond de critiques autour de la gestion de la seconde vague.
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