Souvenez-vous, c’était un 9 septembre 1997. La Rochelle, en Charente-Maritime, était la première commune à réserver son centre-ville aux piétons, rollers, vélos et autres utilisateurs d’engins non motorisés. Vingt-trois ans plus tard, les journées sans voitures ont inspiré des milliers de villes en France, notamment Paris qui en organisera une ce dimanche.
Ceux qui voyaient dans cette initiative une lubie écologiste sans lendemain ont sans doute eu tort, d’après ce sondage Ifop pour le site Caroom.fr (réalisé par questionnaire auto-administré en ligne du 14 au 16 septembre 2020 auprès d’un échantillon de 1017 personnes, représentatif de la population âgée de 18 ans et plus résidant en France métropolitaine, et d’un échantillon de 1031 personnes, représentatif de la population vivant dans les villes de 100 000 habitants et plus). A l’occasion, ce mardi, de la Journée mondiale sans voitures, l’institut témoigne d’un « net soutien des citadins aux politiques de restrictions de la circulation automobile ».
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