Il s’est multiplié sur les routes et les trottoirs ces dernières années. Si le contexte actuel inédit joue en faveur du vélo — la fréquentation cyclable s’est envolée de 87% après le confinement, selon Vélo et territoires — la tendance semble s’inscrire dans la durée. Déjà lors de la mobilisation contre la réforme des retraites, certains usagers des transports en commun nous racontaient avoir choisi de se convertir au vélo. Le phénomène est national: en un an, la pratique de la petite reine a augmenté de 50%, aussi bien dans les grandes villes que dans celles de plus petite taille. Ce qui a pour conséquence de créer des embouteillages aux emplacements de stationnement.
On lui demande de garer son vélo ailleurs
Car le sujet est sensible. Chloé Baïze, une Parisienne de 31 ans journaliste à BFMTV convertie au vélo à assistance électrique depuis la fin du confinement, en a fait l’expérience. “Il y a un local à vélos dans ma résidence mais il est plein, raconte à BFMTV.com la jeune femme, qui habite au 5e étage sans ascenseur. Au début, je rangeais mon vélo en bas d’un des escaliers, là où je range aussi la poussette de mon fils, mais ça a tout de suite été compliqué. Je ne pensais pas qu’en achetant un vélo j’aurais tant de problèmes.”
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