Ces derniers mois, les contraintes liées au coronavirus ont amené beaucoup de citadins à enfourcher une bicyclette pour aller au boulot.
Et nombre de candidats aux municipales ont vanté les vertus environnementales de ce mode de transport. Sans “plan vélo”, mâtiné d’ ”urbanisme tactique” depuis le déconfinement, impossible de faire campagne dans les grandes villes…
Rejoindre son lieu de travail à coups de pédale reste un phénomène “très urbain”: en 2015, à l’échelle nationale, il ne concernait que 1,9% des actifs ayant un emploi, selon l’Insee. Contre 6% à Lyon et de 12% à 16% à Bordeaux, Grenoble ou Strasbourg — agglomération la plus cyclable de France.
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