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Cinq questions à se poser pour bien choisir son vélo à assistance électrique pour la ville

Depuis quelques jours, les coups de fil se mul­ti­plient. «Tu as quoi comme vélo élec­trique ?». «Qu’est-ce que tu me con­seillerais ?». Les rail­leries sur les cyclistes parisiens, les inquié­tudes sur la pré­sumée dan­gerosité du vélo en ville se sont envolées, bal­ayées par la crainte de retrou­ver la promis­cuité des trans­ports en com­mun. Pour tous ceux qui envis­agent de se met­tre au vélo à assis­tance élec­trique, voici quelques con­seils pour bien le choisir.

Tout d’abord, ayez bien en tête qu’il s’agit d’un vélo à assis­tance élec­trique, (VAE pour les intimes) et non pas d’une moto­cy­clette. Le vélo à assis­tance élec­trique n’avance pas si on ne pédale pas. Il demande un effort physique, même s’il est moin­dre qu’avec un vélo tout sim­ple. L’assistance du moteur per­met de mon­ter les côtes sans sour­ciller, façon cham­pi­on du Tour de France… À con­di­tion d’avoir la bonne mon­ture. Cela per­met aus­si de cir­culer à bonne vitesse, sans arriv­er en sueur son lieu de tra­vail ou à ses ren­dez-vous. Néan­moins, la vitesse de l’assistance est pla­fon­née à 25 km/h. Au-delà, seuls vos petits mus­cles font le tra­vail, pour des raisons régle­men­taires. Enfin, puisqu’on par­le de tête, pensez au casque. Il n’est pas oblig­a­toire, mais il est plus pru­dent d’en porter un.

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