Depuis quelques jours, les coups de fil se multiplient. «Tu as quoi comme vélo électrique ?». «Qu’est-ce que tu me conseillerais ?». Les railleries sur les cyclistes parisiens, les inquiétudes sur la présumée dangerosité du vélo en ville se sont envolées, balayées par la crainte de retrouver la promiscuité des transports en commun. Pour tous ceux qui envisagent de se mettre au vélo à assistance électrique, voici quelques conseils pour bien le choisir.
Tout d’abord, ayez bien en tête qu’il s’agit d’un vélo à assistance électrique, (VAE pour les intimes) et non pas d’une motocyclette. Le vélo à assistance électrique n’avance pas si on ne pédale pas. Il demande un effort physique, même s’il est moindre qu’avec un vélo tout simple. L’assistance du moteur permet de monter les côtes sans sourciller, façon champion du Tour de France… À condition d’avoir la bonne monture. Cela permet aussi de circuler à bonne vitesse, sans arriver en sueur son lieu de travail ou à ses rendez-vous. Néanmoins, la vitesse de l’assistance est plafonnée à 25 km/h. Au-delà, seuls vos petits muscles font le travail, pour des raisons réglementaires. Enfin, puisqu’on parle de tête, pensez au casque. Il n’est pas obligatoire, mais il est plus prudent d’en porter un.
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