Le mardi est le jour où Pirouz Hanatchi, le maire de Téhéran, enfourche habituellement une bicyclette pour se rendre à son bureau et tenter ainsi de convaincre ses administrés des vertus de la petite reine.
Le défi est de taille car avec ses embouteillages monstres et sa pollution atmosphérique chronique, la capitale iranienne, mégapole de plus de huit millions d’habitants et qui s’étire à flanc de montagne sur plus de 800 mètres de dénivelé, n’est pas exactement un terrain rêvé pour les cyclistes.
Ceux qui se risquent sur une bicyclette dans la cohue téhéranaise sont d’ailleurs perçus comme des “intrus”, confie à l’AFP, Farchad Rézayi, un chef cuisinier de 32 ans habitué des longues distances quotidiennes à vélo.
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