C’est obligatoire. D’abord pour être vus ! Trop de cyclistes ne disposent pas, ou trop peu, d’équipements réfléchissants ou de feux suffisamment puissants. Ce qui les rend évidemment moins visibles des autres usagers de la route.
Voici une première donnée chiffrée qui va éclairer l’indispensable réflexion sur la nécessité d’être vu lorsque l’on est à vélo. Selon une enquête de la Prévention routière datant de l’automne 2018, les usagers de la bicyclette seraient « 57 % à circuler de nuit en ville sans un éclairage adapté ». Un constat on ne peut plus inquiétant lorsque l’on sait que 40 % des accidents impliquant des cyclistes ont lieu de nuit et en agglomération. Pour terminer de vous convaincre, deux autres statistiques, émanant de l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière : « Le risque pour un cycliste d’être victime d’un accident est trois fois plus élevé que pour un automobiliste. Et celui d’être gravement blessé, seize fois plus élevé » !
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