Actuvélo

A Nice, le vélo a moins la cote que le cyclisme

Le look n’est pas le même, et c’est assumé. Stéphanie ne porte pas le short en lycra, le casque pro­filé et les pédales automa­tiques des coureurs du Tour de France. Elle grimpe sur son vélo en tunique, jean et san­dalettes. Car cette assis­tante sociale n’a pas le temps de se chang­er entre ses déplace­ments et sa vie quo­ti­di­enne. A 52 ans et «sans voiture», Stéphanie utilise son vélo «pour les cours­es, le tra­vail, le ciné, les soirées entre amis». Ce qui fait d’elle une tes­teuse au quo­ti­di­en de la qual­ité du réseau cyclable. Alors que la Grande Boucle quitte Nice ce lun­di matin après y avoir passé trois jours sur des routes réas­phaltées et réservées, quelle est la place du vélo au quo­ti­di­en dans la cinquième ville de France ?

A lire dans la chronique Roues Libres de Lib­er­a­tion