Avec la crise sanitaire liée au coronavirus, de nombreuses personnes se sont prises d’un amour immodéré pour le vélo. Le trafic automobile ayant fortement diminué, beaucoup ont redécouvert la joie d’enfourcher leur bicyclette dans des rues quasi désertes, tout en évitant les transports en commun considérés comme de véritable nids à virus.
Cette «révolution cycliste», comme la qualifie le Financial Times, a pourtant été stoppée dans son élan par une pénurie mondiale de ce mode de transport. «On est au point où, sur les principaux marchés du monde, les ventes de vélos ont dépassé l’offre», explique Jay Townley, consultant chez Human Powered Solutions.
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