Ce n’est pas que le signe d’un temps d’urgence sanitaire générant une relative défiance à l’égard des transports en commun et la place du vélo dans les réflexions sur les déplacements des Français, notamment travail-domicile, prend aussi de l’importance sur l’échiquier politique pour occuper les cases écologiques redevenues stratégiques.
Dès lors, ce n’est pas un hasard ou la marque d’une coquetterie si le premier ministre Jean Castex, dans son discours de politique générale à l’Assemblée nationale, a promis un plan vélo « très ambitieux », avec « des montants significatifs ». Les détails du plan seront dévoilés dans les prochaines semaines et les entreprises seront vraisemblablement en première ligne pour favoriser la promotion de cet usage (via le forfait mobilités durables et les 400 euros annuels).
A lire dans l’Automobile et l’Entreprise qui devrait changer de nom car les déplacements, ce n’est plus que l’automobile