Nous nous souvenons, il y a à peine quelques semaines, le “virus” aidant, plus rien ne serait comme avant, le nouveau monde allait éclore grâce à l’apprentissage du Covid, le président allait se réinventer et forcément nous avec… Ça c’était avant, on ne sait plus très bien avant quoi. En revanche on commence à savoir l’après… où tout semble revenir à l’avant, peut-être en pire, comme on l’entend déjà par-ci par-là.
La petite histoire du chapô me paraît significative de la façon dont au fond “tout change -dans le verbiage- pour que rien ne change dans la réalité”.
Le discours sur le “vélo Roi des transports”, dixit Mme Borne, quand elle était ministre de l’écologie, le plan vélo du gouvernement qui passe de 20 à 60 millions d’euros, l’ouverture de pistes cyclables partout (ou presque), parking à vélos temporaires et le summum, la célèbre rue de Rivoli (Paris) interdite aux voitures pour la priorité aux vélos et aux transports en commun.
Un conte à lire sur blogs.mediapart.fr