Une aide de <span class="numbers">400</span> euros par an pour aller travailler à vélo, en trottinette ou en covoiturage
Thierry Roch
Parmi ce qui pourrait changer dans le monde d’après déconfinement, le mode de transport pour les se rendre au travail sera très certainement concerné. Et la grande nouveauté est notamment d’éviter l’engorgement des transports en commun et donc de favoriser les autres formes de mobilité. Autrement dit les alternatives à la voiture, au métro ou au RER.Pour cela, à partir de ce lundi, “les employeurs privés sont appelés à mettre en place une aide pouvant aller jusqu’à 400 euros par an et par salarié, exonérés d’impôt et de cotisations sociales”, a indiqué le ministère de la Transition écologique dans un communiqué. Selon le décret entrant en vigueur lundi, la mesure concerne les déplacements avec son vélo personnel (à assistance électrique ou non), le covoiturage en tant que conducteur ou passager, mais aussi les “services de mobilité partagés” comme les vélos, trottinettes ou scooters électriques mis à la disposition sur la voie publique, avec ou sans borne d’attache, ou encore l’autopartage à condition que les véhicules soient “à faibles émissions”.